Voici une réflexion brillante et peu commune qui s'interroge sur l'actualité et la pertinence de la critique thomiste de l'usure dans une société qui a fait du prêt à intérêt le moteur de son économie.
Cet article de Monsieur Yvan Pelletier, professeur à l'université de Québec, est paru en 1995 dans la revue de la société d'études aristotéliciennes.
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